Le "feu céleste": Kronos, Phaeton, Prometheus

di Andréa Casella
couverture : Jean Delville, Prométhée, 1907)

[Suite de La signification astronomique de l'âge d'or : Astrée et la "chute" de Phaéton]

Dans une prière de mariage mongole, il est dit que : "Le feu est né quand le ciel et la terre se sont séparés" : Par conséquent, avant que l'équateur céleste (Père Ciel) et l'écliptique (mère Terre) ne s'éloignent (c'est-à-dire que l'angle d'inclinaison d'environ 23 ° de l'écliptique par rapport à l'équateur a été enregistré), le "Feu" n'existait pas. A l'origine, la Voie lactée réunissait le ciel, la terre et le monde des morts : la partie sud de la Galaxie, en correspondance avec le Scorpion et le Sagittaire, est, pour de nombreuses traditions, le lieu dédié au rassemblement des âmes en attente de réincarnation.

Symbolisme stellaire et symbolisme solaire

di Andréa Casella
couverture : "Le zodiaque et les planètes" par Bartholomeus Anglicus, tiré de De proprietatibus rerum, Ahoun 1480

[suit de Le temps cyclique et sa signification mythologique : la précession des équinoxes et le tétramorphe e Une science en lambeaux : survie des doctrines du temps cyclique du Timée à l'Apocalypse]

Pour reprendre le fil conducteur des images que nous avons introduit dans les deux premiers rendez-vous de ce cycle, à la lumière des considérations précédentes, il peut être utile de citer un passage de la mythologie nordique.